Pour ce troisième épisode, c’est l’enjeu du financement qui m’a interpellé. comment financer son projet autrement qu’avec un travail complémentaire ou le statut d’artiste ? Quelles aides le secteur musical en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) met-il à disposition des artistes ? Quelles contraintes iels vont faire face pour l’obtention de leurs aides, la création de dossier ou le suivi des justificatifs ? Pour ce premier volet autour du financement, nous aborderons l’aide aux projets du service musique de la fwb et le programme art & vie sous le prisme de deux musiciens.

____Intervenant·es_______________________________________________________

Antoine, auteur, compositeur et interprète avec son projet solo du nom de Antoine Armedan. 

https://www.antoinearmedan.com/  

Françoise travaille au service des musiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles depuis 17 ans comme gestionnaire de dossier. Elle est aussi responsable de la chambre de concertation des musiques qui est chargée avec l’aide des fédérations professionnelles reconnues comme FACIR, Court-Circuit de donner des orientations politiques pour ce secteur. 

http://www.creationartistique.cfwb.be/index.php?id=7697 

Guillaume, musicien et compositeur avec son projet musical pour jeune public : Dérange ta chambre.

http://guillaumeledent.com/ 

Piet a deux casquettes. Depuis 20 ans il travaille pour Via Lactea une ASBL de management des artistes de musiques du monde et opère tout un travail d’accompagnement au niveau européen. Depuis 2014, c’est aussi un des responsables de la Petite Fabriek à Froyennes, près de Tournai. 

https://www.lapetitefabriek.be/fr 

https://www.vialactea.be/ 

____Crédits____________________________________________________________ 

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Voix off et montage : Nastassja Rico | Mixage : Hugues Parent | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien de Comme Un Lundi, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, et Playright.

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On le constate chaque jour, les réseaux sociaux occupent une place considérable dans la communication des projets musicaux. Que ce soit à travers des publications travaillées ou plus spontanées, pour présenter leurs derniers titres, dates de concerts ou montrer des photos de leur animal. Les artistes ont investi ces outils de partage, pour s’adresser directement à leur public. Une fan base, une communauté se constitue et partage la même passion pour l’artiste. 

Est-ce que la taille de cette communauté influence les choix de programmation ? Est-ce qu’un chiffre d’écoute ou de followers se traduit forcément par une salle pleine ? Que doit-on impérativement mettre en avant dans sa communication ? Y a-t-il des éléments incontournables ou des pièges à éviter quand on s’adresse à des programmateur·rices ?

C’est ce que nous allons tenter de voir ensemble avec nos 4 invité·es.

____Intervenant·es_______________________________________________________

Leticia évolue dans le secteur musical depuis plus de 10 ans. Chanteuse, auteure, compositrice et claviériste, elle porte son projet solo Condore, et collabore avec deux autres projets : Dan San et Antoine Wielemans.

Lucile, auteure, compositrice, musicienne et coach scénique. Elle mène son projet solo Lux Montes et est membre du groupe Baby Fire. 

Gilles, responsable du service musique de Sphères Sonores, anciennement “Ca balance”.

Jean-Yves, programmateur au Reflektor et travaille pour Festiv@Liège pour qui il organise le festival Les Ardentes.

____Crédits____________________________________________________________ 

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Voix off et montage : Nastassja Rico | Mixage : Hugues Parent | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien de Comme Un Lundi, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, et Playright.

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L'été 2022, SCIVIAS sort un chiffre alarmant, 13 festivals en FW-B comptent au total 1255 artistes et pourtant seulement 21% de femmes sont présentes sur scène. Même si peu d'études permettent d'appuyer cette supposition, la FW-B connaît un vivier d'artistes femmes, non-binaires, queers. Alors où sont-iels ?

Cet épisode veut questionner l'influence de l'identité de genre de l'artiste dans les décisions de programmation. L'artiste va souvent devoir s'organiser en parallèle du circuit traditionnel et de nombreuses initiatives suivent ce tracé. Festivals, jams et soirées avec une programmation 100% femme/non-binaire/queer se multiplient.

Comment étendre ces valeurs et ces enjeux de programmation paritaire et inclusive à toutes les salles de concert ? Et quelles seraient leurs contraintes d'application ?

____Intervenant·es_______________________________________________________

Anne-Sophie, guitariste dans le groupe féministe Lavender Witch, et elle a créé l’ASBL de promotion des artistes femmes, Pullet Rocks.

https://www.pulletrocks.com/

Catherine, directrice de l’agence de booking et de management Green Revolver Music.

https://www.green-revolver.com/ 

Lyne travaille sur différents projets liés aux questions de genre dans le secteur musical.

https://www.facebook.com/bru.x.elles.festival

Olivier, responsable du département musique et l’un des trois programmateurs du Botanique.

https://botanique.be/fr 

____Crédits____________________________________________________________ 

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Voix off : Biche de Ville | Montage : Nastassja Rico | Mixage : Hugues Parent | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien de Comme Un Lundi, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, et Playright.

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Dans la première partie de l’épisode, on a pu aborder les enjeux systémiques de la charge mentale et du burn-out chez les musicien·nes. Malgré une généralisation des formes de pressions endurées dans les milieux professionnels de toutes branches, les situations vécues par l’artiste sont propres à son secteur, à la précarité et à l’instabilité de son statut. Les symptômes se font ressentir pendant la pratique de son instrument, sur scène et dans sa communication avec les autres. 

Quels sont alors les outils et exercices concrets pour prévenir de ses symptômes ou y faire face quand ils sont déjà présents ? 

***DOSSIER COMPLÉMENTAIRE***

Pour aller plus loin : Ressources, contacts et structures du secteur musical

____Intervenant·es_____________________________

Béatrice Debock, pianiste, compositrice et interprète, elle est dans le secteur musical depuis qu’elle a 16 ans. Elle lance en 2014 un projet solo pop, B-astre.

https://soundcloud.com/b-astre

Joachim Caffonnette, membre du CA de FACIR, il est compositeur et pianiste de jazz sur la scène bruxelloise depuis 13 ans. Il porte son projet solo, écrit de la musique pour le théâtre et est à la programmation du sounds, un club de jazz historique à Bruxelles.

https://soundcloud.com/joachimcaffonnette

http://facir.be/

Eline Van Audenaerde, CEO de Unicorn MotherShip. Créée en 2015, une agence de management pour coacher les producteur·ices et les DJs et les aider à faire face aux pressions et charges mentales du monde de la nuit. Elle suit des artistes à l’international en leur proposant un suivi psychologique et physique.

https://www.theunicornmothership.com/

Sarah Maïer-Pinto, pianiste et coach-praticienne à la clinique du musicien à Paris, la seule de ce type en Europe. La clinique regroupe des spécialistes agréés : kinésithérapeutes, ostéopathes, chirurgien·nes de la main, rhumatologues et coachs. Sarah propose des ateliers collectifs, des consultations individuelles ou pluridisciplinaires avec d’autres services.

https://cliniquedumusicien.com/

____Crédits_____________________________________

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR et le Gsara Bruxelles. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Avec l’aide de : Noé Béal, Thibault Coeckelberghs, Pablo Fleury et Béatrice Debock | Voix off et montage : Nastassja Rico | Doublage : Letty Bidivanu | Mixage : GSARA ASBL | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien du GSARA, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, Court-Circuit, Playright et la Jazz Station.

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Pour ce dernier épisode, un enjeu sensible souvent sous-estimé tant par le public que par son secteur : la santé mentale des musicien·nes. On véhicule encore cette fausse idée que vivre de sa passion préserve l’artiste de la charge mentale amené par sa profession. Cela va légitimer la disparition de toutes frontières entre vie professionnelle et personnelle. 

J’ai décidé de séparer l’épisode en deux parties pour aborder tous les enjeux de cette thématique. Déconstruire l’idée que l’artiste n’a pas à toujours devoir faire mieux ou plus est un processus long et endurant.

***DOSSIER COMPLÉMENTAIRE***

Pour aller plus loin : Ressources, contacts et structures du secteur musical

____Intervenant·es_____________________________

Béatrice Debock, pianiste, compositrice et interprète, elle est dans le secteur musical depuis qu’elle a 16 ans. Elle lance en 2014 un projet solo pop, B-astre.

https://soundcloud.com/b-astre

Joachim Caffonnette, membre du CA de FACIR, il est compositeur et pianiste de jazz sur la scène bruxelloise depuis 13 ans. Il porte son projet solo, écrit de la musique pour le théâtre et est à la programmation du sounds, un club de jazz historique à Bruxelles.

https://soundcloud.com/joachimcaffonnette

Maurizio Ferrara, un DJ dont la carrière artistique se compte en vingtaines d’années. Il a monté des labels indépendants comme le label pneu et a deux projets artistiques : Front de cadeaux et Athome. Il travaille à Infor Drogue depuis 20 ans, comme psychologue et psychothérapeute et pour Modus Fiesta un projet porté par Modus Vivendi qui vise à la réduction des risques liées à l’usage de drogues.

https://soundcloud.com/dj-athome

https://www.facebook.com/modus.fiesta/

Sarah Maïer-Pinto, pianiste et coach-praticienne à la clinique du musicien à Paris, la seule de ce type en Europe. La clinique regroupe des spécialistes agréés : kinésithérapeutes, ostéopathes, chirurgien·nes de la main, rhumatologues et coachs. Sarah propose des ateliers collectifs, des consultations individuelles ou pluridisciplinaires avec d’autres services.

https://cliniquedumusicien.com

____Crédits_____________________________________

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR et le Gsara Bruxelles. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Avec l’aide de : Noé Béal, Thibault Coeckelberghs, Pablo Fleury et Béatrice Debock | Voix off et montage : Nastassja Rico | Mixage : GSARA ASBL | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien du GSARA, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, Court-Circuit, Playright et la Jazz Station.

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Une carrière dans la musique est-elle vraiment incompatible avec l’idée d’une rémunération juste ? Ce n’est jamais la première question qui nous vient à l’esprit quand on saute enfin le pas pourtant c’est bien celle qui nous prendra le plus de temps. 

Est-ce que je dois cumuler les projets musicaux pour m’en sortir ? Quelle somme je dois investir pour me lancer et pour combien de temps ? Est-ce que je dois privilégier les petites formations pour être mieux payé ? Cet épisode va aborder les stratégies et choix qui s’offrent à l’artiste pour tendre vers une certaine stabilité financière. L’accent sera mis sur les labels qui épaulent les artistes dans la production, diffusion et promotion de leurs projets musicaux. 

***DOSSIER COMPLÉMENTAIRE***

Pour aller plus loin : Ressources, contacts et structures du secteur musical

____Intervenant·es_____________________________

Clément Marion, musicien-interprète, technicien son et producteur. Il suit ses passions musicales et accompagne des groupes comme David Numwami, Judith Kiddo, Lomboy ou Castus. En parallèle, il enregistre sa voix pour des applications ou des tutoriels de bricolage.

https://soundcloud.com/davidnumwami

Guillaume Cazalet, de son nom de scène CZLT, est multi-instrumentiste. Il a multiplié les projets musicaux et est présent dans 6 formations aux univers très différents. Fondateur du groupe Neptunian Maximalism, il porte aussi deux projets solos CZLT et ÔROS KAÙ. Dernièrement, il a lancé son propre label HOMO SENSIBILIS SOUNDS.

https://soundcloud.com/neptunianmaximalism

Augustin de Bellefroid, fondateur de l’ASBL Sysmo dont il est le directeur artistique, musicien et pédagogue pour leurs ateliers et stages. la composition musicale instantanée qui sera déclinée en trois pôles d’activités : la production de concerts, d’ateliers et de stages. L’association réunit une vingtaine de musicien·nes, percussionnistes et chanteur·euses.

https://sysmo.be/agenda/220103srs-bxl/

Gauthier Gilissen, travaille depuis deux ans pour Iles ASBL comme accompagnateur dans la section artist project de l’association.

http://www.iles.be/

Juliette Demanet, une des coordinatrices du label Luik Music et chargée de la distribution physique.

https://luikstories.com/

____Crédits_____________________________________

Eye of the Taïga est un podcast produit par FACIR et le Gsara Bruxelles. 

Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Avec l’aide de : Noé Béal, Thibault Coeckelberghs, Pablo Fleury et Béatrice Debock | Voix off et montage : Nastassja Rico | Mixage : GSARA ASBL | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien du GSARA, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, Court-Circuit, Playright et la Jazz Station.

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On s’imagine souvent que l’artiste occupe principalement ses journées à perfectionner son art. Pourtant, le métier de musicien·ne constitue une multitude de notions nécessaires à son rayonnement. L’artiste doit savoir prendre en main sa pratique musicale, sa communication, production, édition, diffusion, et ce n’est que le plus visible de l’iceberg.

Est-ce qu’une parfaite technique nous assure l’ouverture des plus grandes salles ? Quelle stratégie adopter pour l’artiste, perfectionner sa pratique musicale ou la penser dans le but de la faire entendre ? Comment attirer l’attention de structures accompagnantes comme les agences de management pour alléger cette charge ? Des questionnements qui traitent aussi de la nécessité d’avoir un·e manageur·euse pour alléger toutes ces compétences ou des raisons qui poussent un·e programmateur·rice à ouvrir un mail plutôt qu’un autre.

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____Intervenant·es_____________________________

Biche de Ville est poète punk. Son projet solo électro-pop défend des messages engagés. Iel est administrateur chez FACIR.

https://soundcloud.com/bichedeville

Erica, artiste internationale, elle est productrice et DJ sous le nom de La Dame aka DJ Carie avec un son hip hop passant par le kuduro ou le dancehall. Pendant 10 ans elle a codirigé l’ASBL Wicked Girls, impliquée dans les questions de promotion des femmes dans les musiques électroniques. Elle est aussi professeure de mix pour l’association danoise Future Female Sounds.

https://soundcloud.com/ladame1

Audrey Di Troia, fondatrice de l’agence de booking liégeoise Full Colorz Agency. L’agence accompagne 22 artistes et groupes aux couleurs musicales variées avec du jazz, de la musique électronique et du global beat. Elle est membre de la FBMU, la fédération des bookeur·euses et manageur·euses.

https://fullcolorzagency.be/ 

Gilke Vanuystel, programmatrice musique au Beursschouwburg, un centre d’art multidisciplinaire situé à Bruxelles et qui met l’accent sur les artistes locaux·ales. 

https://www.beursschouwburg.be/en/

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Réalisation : Nastassja Rico et Fabian Hidalgo | Avec l’aide de : Noé Béal, Thibault Coeckelberghs, Pablo Fleury et Béatrice Debock | Voix off et montage : Nastassja Rico | Doublage : Letty Bidivanu | Mixage : GSARA ASBL | Habillage sonore : Clément Nourry et Lynn Cassiers | Illustration : Clémentine Lenelle

Avec le soutien du GSARA, de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la SABAM, Court-Circuit, Playright et la Jazz Station.

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FrancoFaune s’est deux pôles essentiels : la partie public avec le festival en octobre dans une quinzaine de lieux et l’accompagnement d’artistes avec le parcours FrancoFaune qui sélectionnent trois artistes résident·es en Belgique et chantant en français. 

Pour l’édition 2021, j’ai suivi les trois projets musicaux sélectionnés lors de leur résidence artistique dans un petit havre de paix reculé de la capitale, l’Espace Columban au Wavre. Un moment de rencontres entre les équipes de FrancoFaune et les artistes. L’intérêt des tremplins a été questionné dans l’épisode 1 et pour creuser un peu plus le sujet je n’ai pas pu rater l’occasion de participer à ces trois jours d’encadrement personnalisés avec des professionnel·les du secteur.

***DOSSIER COMPLÉMENTAIRE***

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____Intervenant·es_____________________________

Arnaud Héron (Arnaud, Bruno et Denis) a déjà expérimenté le milieu des tremplins. Pour la résidence FrancoFaune, il participe et est sélectionné pour la première fois sous son projet solo, une pop secrète sans salades, en français sauce haïku.

Krakenizer (Anaïs, Lionel et Cyril) surtout connu du monde underground et des squats, iels accèdent pour la première fois à un encadrement artistique avec des professionnel·les du secteur. Electropunk survolté à guitares jouées avec les doigts du Diable.

ONHA (Élia, Martha et Tim), projet porté par un jeune liégeois sur fond de Hip-hop à la fois classique et lorgnant fort vers le futur. Il a participé à plusieurs tremplins et concours dont Concours Circuit. 

Cédric Van Caillie, coach scénique pour le parcours FrancoFaune. 

Céline Magain, coordinatrice de FrancoFaune depuis une dizaine d’années. 

____Crédits_____________________________________

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