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On March 25, 1942, nearly a thousand young, unmarried Jewish women boarded a train in Poprad, Slovakia. Filled with a sense of adventure and national pride, they left their parents' homes wearing their best clothes and confidently waving good-bye. Believing they were going to work in a factory for a few months, they were eager to report for government service. Instead, the young women - many of them teenagers - were sent to Auschwitz.

"I do not hate. To hate is to let Hitler win." - Rena Kornreich Gelissen. On March 26, 1942, the first mass transport of Jews - 999 young women - arrived in Auschwitz. Among them was Rena Kornreich, the 716th woman numbered in camp. A few days later, her sister Danka arrives and so begins a trial of love and courage that will last three years and 41 days, from the beginning Auschwitz death camp to the end of the war.

La Révolution aurait-elle connu un autre cours si Robespierre n'avait été celui qu'il était ? La psychologie de l'"Incorruptible" traquée dans tous ses méandres pour un livre surprenant. Maximilien Robespierre reste le personnage le plus controversé de la Révolution française, en même temps qu'une figure historique étudiée dans le monde entier. Max Gallo, historien de métier et biographe aux succès éditoriaux considérables, brosse ici un portrait psycho-historique de Robespierre.

"Le Feu, Journal d'une escouade" est un récit par Henri Barbusse de sa vie au front durant la première Guerre mondiale, paru en novembre 1916. Il reçoit la même année le prix Goncourt. Ce livre que Barbusse, engagé volontaire en 1914, tira de son expérience personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant vingt-deux mois dans les tranchées de décembre 1914 à 1916. Barbusse tient un carnet de guerre où il note des expériences vécues, les expressions des poilus.

Paris, 1940. The City of Light has fallen under German Occupation. Among patriotic Parisians, the pursuit of art, culture, and jazz have become bold acts of defiance. So has forbidden romance for talented and spirited Jewish teenager Annette Zelman and dashing young Catholic poet Jean Jausion. Despite their devout families' vehement opposition, the young couple finds acceptance at the famed Cafe de Flore, whose habitues include Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Pablo Picasso, Django Reinhardt, and other luminaries of the Latin Quarter's creative world.

Les grands drames vécus lors d'une guerre relèguent habituellement les événements moins tragiques, au second rang. Bien que ces derniers passent inaperçus durant les combats, ils ne méritent pas moins d'être connus du public à cause du sentiment de bienveillance, de compassion, d'amour et d'innombrables preuves d'humanité dont ils ont fait preuve. Ce livre audio ne s'attarde donc pas sur les protagonistes des grandes batailles.

Dans des archives de famille, Emmanuel Rougier découvre une petite enveloppe écrite au crayon provenant de la prison allemande d'Orléans. Elle est datée du 8 mars 1943 et signée d'une grand-tante : Madeleine Fauconneau du Fresne. Lettre dramatique d'une femme emprisonnée, isolée dans sa cellule, et qui parvenait malgré tout à rendre grâce à Dieu. D'investigations en découvertes, l'auteur tombe sur l'histoire extraordinaire de cette femme qui a refusé la défaite de 1940 puis sauvé de la déportation son amie Yvonne Netter, avocate juive et féministe, en organisant son évasion du camp de Pithiviers.

L'Opération Oiseau bleu ou la "Force K" fut mise en œuvre par le SDECE (services secrets français) en 1956, deuxième année de la guerre d'indépendance de l'Algérie. Le projet, élaboré semble-t-il à la fin 1955 au niveau du Gouvernement Général de l'Algérie, envisage de détacher de la rébellion du FLN plusieurs centaines de Kabyles puis de les transformer en commandos clandestins, opérant avec des tenues et des armes analogues à celles de l'ALN, le bras armé du FLN, et chargés de mettre en œuvre un véritable "contre-maquis" en Kabylie baptisé "Oiseau bleu" ou "Force K" comme "Kabyle".

El 25 de marzo de 1942, cientos de jóvenes mujeres judías y solteras abandonaron sus hogares para subir a un tren. Estaban impecablemente vestidas y peinadas, y arrastraban sus maletas llenas de ropa tejida a mano y comida casera. La mayoría de estas mujeres y niñas nunca habían pasado ni una noche fuera de casa, pero se habían ofrecido voluntariamente para trabajar durante tres meses en época de guerra. Ninguno de sus padres habría adivinado que el gobierno acababa de vender a sus hijas a los nazis para trabajar como esclavas.