L'épisode traite du refus du propriétaire du Los Angeles Times, Patrick Soon-Shiong, d'appuyer Kamala Harris pour la présidence, ce qui a provoqué la démission de la rédactrice en chef du journal, Mariel Garza. Soon-Shiong a soutenu que le conseil de rédaction du journal avait la possibilité de présenter une analyse factuelle des politiques de chaque candidat, mais a refusé, conduisant à la décision de ne pas approuver Harris. Le refus d'appuyer Harris a suscité la colère des lecteurs et du personnel du journal, soulignant le conflit entre le journalisme indépendant et les intérêts personnels du propriétaire.

L'épisode traite des allégations selon lesquelles Donald Trump aurait fait des commentaires admiratifs à propos d'Adolf Hitler et aurait exprimé le désir d'avoir des généraux comme ceux d'Hitler. Ces allégations proviennent de John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump, qui a partagé ces informations dans des interviews avec le New York Times et The Atlantic. Ces déclarations ont provoqué une réaction féroce de la part de Trump et de ses partisans, qui qualifient les déclarations de Kelly de mensonges ou de déformations de la vérité. Kamala Harris, candidate à la présidence, a profité de ces allégations pour critiquer Trump et le qualifier de « fasciste », affirmant qu'il représente une menace pour la démocratie américaine.

Elon Musk, un ardent partisan du candidat républicain Donald Trump, a promis de donner 1 million de dollars par jour aux électeurs qui signeront une pétition de son comité d'action politique en faveur de la Constitution américaine. Cette initiative soulève des questions quant à sa légalité, car certains experts électoraux estiment qu'il s'agit d'une violation de la loi d'offrir une récompense financière pour la signature d'une pétition qui exige également l'inscription sur les listes électorales.