“J’ai peur”

Pourtant mon cœur

Lui, à envie, Il veut y aller

Même qu’il trépigne à l’idée de s’y engouffrer !

Et moi, paralysée au milieu.

Peur de perdre.

Perdre mon temps, ma mise ou pire : ma réputation.

Perdre la face devant un public,

Me sentir minable, inconsolable,

La tête baissée

D’être comme un animal blessé

La peur

est alors mon persécuteur.

Pourquoi fait-elle cela ?

Pourtant mon cœur, lui ça va !

Lui a envie d’y aller

Même qu’il trépigne à l’idée de s’y engouffrer !

La peur, cette mal-aimée,

Est tout simplement la face cachée

de la médaille que j’ai envie d’acquérir

C’est cette face cachée que je dois conquérir.

Me lever et marcher ? - Je vais devoir tomber !

Apprendre à nager ? – Je sais que je vais aussi couler !

Une nouvelle langue ? - Je vais baragouiner, ne pas me faire comprendre !

La peur est le passage,

A mon nouvel apprentissage.

C’est la porte d’entrée; que dis-je le portail !

Le pont-levis, les douves

Derrière lesquels se trouve

ce qui fait battre mon cœur plus fort

ce qui fait vibrer mon âme de confort.

Une fois arrivée, la peur elle est dépassée,

Elle se trouve juste derrière

Et elle me sourit.

Elle me dit :

“Non, je ne suis pas ton persécuteur

Je suis ton instructeur

Je suis la sage qui au passage

S’assure que tu prennes les précautions nécessaires.

Car je sais que tu peux le faire.

Non, je ne te persécute pas.

Je suis tout simplement là pour toi.

Je t’invite à me prendre dans tes bras

Comme cela nos pourrons y aller ensemble

Avec moi – ta peur – en alliée

Et donc en toute sécurité.”

Crédit musique : Adobe Stock "The enchanted forest"

Décembre, ce mois qui nous invite à rester à la maison

A faire le point au fond notre tannière.

De nous entourer uniquement de ce qui est réellement nécessaire.

Décembre nous invite à regarder ce qui est important pour toi

Et ce qui ne l’est pas.

Et comme son nom indique

Il nous invite

A dé - cembrer !

Désencombrer nos chaumières physiques et mentales

Nous déléster des boulets que nous nous trainons.

Défaire les liens qui ne nous conviennent plus, potentiellement même toxiques !

Comme le nombre d’heures de la nuit de solstice nous indique

Nous sommes invités à passer du temps à notre intérieur mentale et aussi physique.

Sortir tous ces vieux cartons.

Désecombrer les sous-sols et autre débarras où qu’ils sont.

Faire de la place pour accueillir

La nouvelle année ou déjà – pour commencer - le mois de janvier.

Son dieu Janus, d’ailleurs responsable des portes et des passages !

Car passer d’une année à l’autre

apporte non seulement la lumière du jour qui se rallonge.

Mais aussi l’invitation

De tout simplement dé-cembrer toute ta maison.

Crédit photo Adobe Stock : December Waltz

Transmettre c’est ma passion

Ou autrement dit, je fais de la transmission

C’est d’ailleurs cela ma mission.

Très naturellement - et ce depuis longtemps

J’enseigne, je partage je lègue mes enseignements.

Des idées pratiques, logistiques ou des comportements

A adopter dans une négociation

Ou encore dans ta propre organisation.

D’ailleurs, ce mot de transmettre à deux significations :

C’est – comme vu - l’action de transmettre un enseignement

- En plus de cela, c’est aussi le transport d’un signal d’un émetteur jusqu’à sa destination finale.

Car oui parfois j’entends un message

C’est mon intuition qui capte au passage

Une émotion, un mot, une image que par la suite je te partage.

Et de ce message, tu en fais ce que tu veux.

Tu peux le garder, l’analyser ou encore le jeter.

Moi, ma mission est complète

Quand la transmission – dans les 2 sens du terme - est faite.

Donc concrètement comment cela se passe ?

Ben justement, c’est toujours et simplement ce fameux message qui passe.

L’information, elle, le message, lui, est déjà là,

Soit à l’intérieur de moi

Ou bien dans l’éther, le subtil où je vais le capter pour toi.

Je vais bien sûre encore un peu plus loin.

Je t’inviterai toujours de faire 1 premier pas concret un premier pas pour lequel tu es prêt.

Cela te permet d’incarner,

donner vie et t’approprier

Ma transmission.

Ce qui – je te rappelle- et tout simplement ma mission.

Music Credit ADOBE : Final transmission home

Transmettre c’est ma passion

Ou autrement dit, je fais de la transmission

C’est d’ailleurs cela ma mission.

Très naturellement - et ce depuis longtemps

J’enseigne, je partage je lègue mes enseignements.

Des idées pratiques, logistiques ou des comportements

A adopter dans une négociation

Ou encore dans ta propre organisation.

D’ailleurs, ce mot de transmettre à deux significations :

C’est – comme vu - l’action de transmettre un enseignement

- En plus de cela, c’est aussi le transport d’un signal d’un émetteur jusqu’à sa destination finale.

Car oui parfois j’entends un message

C’est mon intuition qui capte au passage

Une émotion, un mot, une image que par la suite je te partage.

Et de ce message, tu en fais ce que tu veux.

Tu peux le garder, l’analyser ou encore le jeter.

Moi, ma mission est complète

Quand la transmission – dans les 2 sens du terme - est faite.

Donc concrètement comment cela se passe ?

Ben justement, c’est toujours et simplement ce fameux message qui passe.

L’information, elle, le message, lui, est déjà là,

Soit à l’intérieur de moi

Ou bien dans l’éther, le subtil où je vais le capter pour toi.

Je vais bien sûre encore un peu plus loin.

Je t’inviterai toujours de faire 1 premier pas concret un premier pas pour lequel tu es prêt.

Cela te permet d’incarner,

donner vie et t’approprier

Ma transmission.

Ce qui – je te rappelle- et tout simplement ma mission.

Music Credit ADOBE : Final transmission home

Un soin conté,

le temps d'écouter une histoire racontée

qui fera peut-être émerger

ce qu'il y a au fond de toi

et que peut-être, tu savais déjà,

une heure pour te laisser rêver,

une heure pour écouter ma voix,

une voix qui ne jugera pas,

cette voix qui te donne simplement ce choix

de l'écouter et d’intégrer

ou bien de laisser filer.

Elle raconte cette voix

mais elle ne te parle peut-être pas,

car aujourd’hui ce n’est pas encore ton choix.

elle peut aussi mettre en lumière, réveiller, illustrer

ce qui était caché, encore inexprimé,

là - au fond de toi.

Cette histoire, vibrera - ou ne vibrera pas, selon ce qui est au fond de toi,

selon si cela résonne, ou ne résonne pas

Si tu es désormais prêt à cela,

ce soin conté te donne simplement le choix d'écouter et d'entendre, ou pas.

Le choix d’être soi

J’ai l’ai choisie, cette vie

En faisant le choix. D’être simplement moi.

J’en remercie d’ailleurs mon autopilote.

Celui qui m’a guidé jusqu’ici.

Mon fidèle GPS qui a été programmé, testé, vérifié, utilisé et approuvé

Par tous avant moi, soit, toute ma lignée.

« Regarde ! C’est comme cela que ça se fait !

C’est ce qu’on attend de toi

Applique-toi si tu veux la paix.

La paix des ragots et autres opinions.

De tout ce qui se dit. Et qui n’est aucunement de leurs oignions !

Pourtant ici

on parle bien de MA vie !

Tu casses la routine, tu sors des senties

Déjà battus par milliers

par les pieds de toux ceux

Qui on fait comme les autres, juste avant eux.

Il faut du courage pour quitter le sentier.

Lâcher le GPS et de s’en aller.

Il serait facile et tellement rassurant

de suivre la routine. En répétant

chaque jour les mes gestes et autres habitudes.

Mais toi, tu es où là-dedans ?

Ce point de rupture demande un effort considérable

Pour beaucoup d’ailleurs in est insurmontable.

Car suivre ton cœur,

cela peut faire très très peur.

Autour de toi, l’incompréhension.

Tu les as perdus à la dernière jonction.

Ils sont frustrés et désorientés,

Ne comprennent pas ce que tu fais, qui tu es.

Ils ne voient pas que tu aies choisi …

tout simplement

ta propre vie.

Music credit : Adobe "The fantastic journey of life"

Les barreaux

Tout droits en enfilade et bien espacés

ces barreaux de ta prison

empêchent l’évasion.

Tu as juste un aperçu

de ce qui se trouve côté rue.

Enfin - ce que l’angle de ta prison

a bien voulu mettre dans ton champ de vision

Tu rêves de cet autre côté

Tu n’as qu’une envie, c’est d’y aller.

La fuite est impossible, Les barreaux sont solides

Tu veux sortir, tu veux t’en aller

Partir en courant, trouver enfin la liberté.

Cette même liberté dont es prisonnier.

Mais de quoi sont-elles faites ces barres de fer ?

Tu tires, tu pousses, tu limes la matière.

Mais en fait, ces barres ne sont pas faites de fer.

Elles sont faites de tes pensées négatives,

tes croyances, tes limites, tes interdictions.

Tes peurs nourris d’injonctions entendues,

répétées, intégrées et assimilées.

Ton histoire de famille et toute ta lignée,

Ne parlons pas des ragots des voisins du village

Et des leçons de la vie qui t’ont marquées,

la honte, le ridicule - qui pourtant ne tuent pas -

s’alignent comme de bons petits soldats.

Les barreaux de ta fenêtre qui barrent ta vue.

Tu les as vu naître, tu les as même nourris.

Pour t’enfuir faut scier, faut les faire fondre,

Ces barreaux de prison que seul toi tu peux voir.

Or, aujourd’hui tu peux les sentir,

Tu peux les empoigner, tu peux t’y tenir.

As-tu seulement envie d’en sortir, pour t’enfuir ?

De l’autre côté se trouve la liberté.

Es-tu sûr qu’il ne vaudrait pas mieux rester ?

Music credit : Adobe "Light through prison bars"

Que vois-tu mon enfant

de tes yeux innocents ?

Une injustice, une guerre - ou encore la violence d’un père,

Tu te sens seul. Tu as peur.

Tu voudrais aider, mais tu ne pas pas le faire.

C’est ce petit corps, qui souffre si fort.

Alors tu as décidé de te taire

Et tu te refuges dans ta propre amure de fer.

Adolescent ton corps devient fort.

Alors tu décides de passer à l’attaque.

Tu défends, tu retorques, tu protèges les autres.

Tes muscles sont là. - Mais …. qui s’occupe de toi ?

Tu es toujours trop jeune pour porter ce poids,

Ton armure te protège te mets à l’abris

Elle te permet de cacher ta peur, à l’intérieur.

Tu n’es qu’un enfant, un adolescent.

L’armure est trop rigide - et toi si fragile.

« Cette armure me protège, me laisse grandir ! »

- Surtout elle te permet de ne pas subir.

Aujourd’hui tu es l’adulte qui a passé sa vie.

à protéger, à sauver - et surtout à t’oublier.,

Trop jeune déjà tu as basculé d’être protégé à protecteur.

Programmé à cela, devenu Sauveteur,

Ton monde à toi a basculé.

Cette armure qui protège des attaques à venir

Cette armure qui empêche d’entrer et même d’en sortir.

Ton armure te tient debout, te donne fière allure

Personne ne sait qu’à l’intérieur, habite la peur.

Un piège en métal que tu t’es forgé.

Cette armure qui jadis, t’a protégé.

Si je tends l’oreille - j’entends ton cœur qui bat.

Qui cogne si fort à la paroi.

C’est ton enfant intérieur qui pleure, parce que lui, il a toujours peur.

Music credit ADOBE : Heartbeating Thrills