Elle a commencé à enregistrer des reprises chez elle, le dimanche soir, avec pour seule compagnie sa guitare et un iPhone posé sur des boîtes à chaussures. Et puis, le 4 décembre dernier, son nom est apparu en lettres rouges sur la façade de l’Olympia à Paris : Emma Peters. Pas mal pour une jeune artiste qui a grandi dans une ferme en Picardie, non ?

Dans cet épisode de ONE, on plonge dans son univers créatif : son studio improvisé à Paris, où elle compose et crée ses maquettes, mais aussi ses liens avec des artistes comme Ben Mazué, qui témoigne de son authenticité et de son amour pour ses instruments. Entre tradition et modernité, Emma Peters incarne une artiste passionnée et profondément sincère.

Au cœur de sa musique, une histoire familiale : Philippe Callens, son grand-père musicien, lui a offert sa première guitare et l’a encouragée à monter sur scène. C’est grâce à lui qu’elle a découvert son amour pour la guitare classique.

Mais chez Emma, la musique n’est pas seulement une question de son. L’esthétique de ses instruments, choisis non seulement pour leur son mais aussi pour leur apparence, fait partie intégrante de sa démarche créative. C'est d’ailleurs avec une guitare bien particulière, une guitare à la double rosace, dont les cordes semblent disparaître dans un sourire, qu’Emma a forgé son style unique. Une guitare qui nous invite dans un univers doux et intime.

Un épisode qui ravira aussi bien les fans de guitares classiques, que ceux qui aiment les belles histoires musicales !

ONE, le podcast qui explore la relation entre un artiste et son instrument fétiche.

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Avec le soutien de la SACEM et de LA CULTURE AVEC LA COPIE PRIVÉE.

Production : Big Red Machine / Réalisation & Direction Artistique : Xavier JOLLY - LA GRANDE ZAZA / Interview : Marc GONNET / Communication & image : Emilie BARDALOU

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Mais qu'est-ce qui fait la signature sonore d’un grand batteur ? Est-ce un objet fétiche ou une technique particulière ?

On en discute en compagnie de Manu Katché dans cet épisode de ONE...

Manu Katché n'est pas un inconnu du grand public... Célèbre pour sa participation en tant que juré à l'émission "Nouvelle Star" et pour avoir partagé la scène avec des légendes comme Peter Gabriel, Sting, et bien d'autres, sa carrière s’étend sur plusieurs décennies.

C’est au cœur du Duc des Lombards, le mythique club de jazz parisien, que nous avons eu le privilège de l’interroger sur son parcours exceptionnel et son style unique. Accompagnés de Sébastien Benoits, le rédacteur en chef de Batteur/Batterie Magazine et notre guide spirituel dans le monde des batteurs pour cet épisode, c’est un artiste humble, passionné et profondément humain que nous avons découvert lors de cette rencontre. Manu Katché n’est pas un collectionneur de batteries ou d’instruments, car pour lui, sa plus grande richesse, ce sont les rencontres. Des expériences partagées avec d’autres artistes qui enrichissent sa musique bien au-delà des objets matériels.

Quand il s’agit de son jeu, il ne s’attache pas non plus à un kit de batterie en particulier, mais à deux petites cymbales splashes, un élément essentiel de son style si subtil. Le voilà son doudou, son objet musical fétiche. Des petits disques de métal au son saillant, mais légers et mobiles, lui permettant de se concentrer sur l'essentiel : l'échange musical et humain. Une manière de nous montrer que le rythme ne se limite pas aux percussions, mais qu’il bat aussi au cœur des liens humains <3

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Mosimann a vécu de nombreuses vies depuis qu'il a tatoué ses coudes d’étoiles —désormais recouverts de monochromes— et remporté la Star Academy en 2008. Bien qu'il assume totalement ses débuts, il est aujourd’hui un artiste pluridisciplinaire.

En plus de sa carrière de DJ, qui l’a propulsé plusieurs fois dans le top 100 mondial et en tête d'affiche de très gros festivals en Europe, il s’est aussi révelé en tant producteur et compositeur pour des artistes tels que Louane, Grand Corps Malade et Barbara Pravi.

Mais aujourd’hui, c’est son lien unique avec un instrument très particulier qui nous fascine : son piano de street art, une véritable oeuvre d’art créée en collaboration avec son ami et artiste Jo di Bona. Bien plus qu’un simple instrument, ce piano de la marque Roland incarne l’âme musicale de Mosimann et son processus créatif.

À travers des anecdotes touchantes et des démonstrations musicales, on découvre comment cet objet d’art reflète la personnalité et la créativité de Mosimann. Avec lui, il compose et improvise, s’inspirant des mélodies qui naissent sous ses doigts.

Cet épisode est une invitation à explorer l’univers d’un artiste audacieux qui suit son cœur et prend des risques, en plaçant l’authenticité et la créativité au cœur de son art.

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