Est ce que les femmes de rugbyman sont toujours des femmes de l’ombre ?

Aujourd’hui pour répondre à cette question, je rends visite à Liz Terrain dans la plaine de Nay. en Béarn, Liz est la femme de Romain Terrain.

Chez les Terrain il y a 1 piscine, 1 trampoline, 1 filet de tennis, des buts de foot, panneaux de basket, poteaux de rugby et plein de ballons bien entendu…..Alors quand on arrive le ton est donné :

Ici vivent d’infatigables sportifs !

Liz a grandi en Lorraine puis dans le Tarn, elle est très vite débrouillarde et autonome. Déjà très active, elle a beaucoup pratiqué la gymnastique, et elle a de beaux restes je vous invite à aller jeter un coup d’oeil sur son compte instagram la voir faire des flips arrières sur la plage avec son fils.

Comme beaucoup d’autres femmes de rugbyman Liz a vu « du pays » comme on dit.

Après Castres, où elle rencontre celui qui deviendra plus tard son mari, Liz et son fils Maxence rejoignent Romain parti pour Biarritz.

Biarritz où naîtra Loah, puis Perpignan où c’est un troisième garçon qui verra le jour Jonah.

La présence de Liz est très chaleureuse et c’est sans aucun doute grâce à cela qu’elle parviendra à s’intégrer à chaque fois et à conserver de précieuses amitiés partout où sa famille s’est installée.

Liz est sincère et malgré une douceur évidente elle déborde d’énergie, ses amies disent d’elle qu’elle ne s’arrête jamais.

Mais cette vie lui plaît et le rugby reste prépondérant dans la vie de la famille Terrain, Jonah et Loah pratiquent le rugby, la sœur et la belle sœur de Liz ont épousé des rugbymen professionnels et Romain entraîne aujourd’hui l’équipe professionnelle du Stado Tarbes Pyrénées.

Elle évoque pour nous un petit txik txak de Vincent Clerc sur Romain qui fait bien rire ses garçons et plus sérieusement les grandes joies et les moments difficiles qu’offre une carrière de rugbyman professionnel, la précieuse famille du rugby, les belles rencontres et cette passion pour le sport qu’ils partagent depuis toujours tous les deux.

A ce sujet sa maman disait d’elle qu’il lui faudrait dans sa vie quelqu’un de sportif...

Alors je crois que Liz est parfaitement à sa place dans une vie qui lui correspond et qui la rend heureuse.

Je vous laisse la découvrir à votre tour .

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Est ce que les femmes de rugbyman sont toujours des femmes de l’ombre ?

Aujourd’hui j ‘ai rendu visite à Frédérique David à Biarritz, à 2 pas d’Aguilera. Frédérique est la femme de Yann David.

Frédérique la Toulousaine nous parle de sa jeunesse dans la ville rose qui a également vu naître ses deux garçons. Toulouse où elle conserve de nombreux amis et où elle avait besoin de revenir lorsqu’elle trouvait le temps un peu long à Castres.

Frédérique la sportive infatigable depuis toute petite . Et même si elle a du renoncer à un projet sportif qui lui tenait à cœur, aujourd’hui encore elle aime s’entraîner fort et souvent, car cela fait partie de son équilibre.

Frédérique l’hyperactive qui aime à répéter : Faut que ça bouge ! Oserais je dire que les chiens ne font pas des chats car finalement elle n’est pas très étonnée que son p’tit dernier fasse preuve d’une énergie débordante...

Frédérique la femme libre et indépendante qui n’a pas hésité à se lancer un nouveau défi professionnel, qui a besoin de calme et de solitude parfois pour se retrouver même si elle adore passer du temps en famille.

Enfin Frédérique la femme de Yann . Elle nous raconte leur rencontre et le début de leur histoire tout en douceur et respect, leur mariage pas très conventionnel, leurs tempéraments similaires mais aussi complémentaires.

Elle dit de lui qu’il est son ange gardien !

Enfin elle mentionne comme d’autres femmes de joueurs, les valeurs que Yann et le rugby ont amené dans sa vie : l’humilité, la mémoire et la reconnaissance.

J’espère que vous aurez autant de plaisir que moi à faire la connaissance de Frédérique.

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L’épisode d’aujourd’hui sera différent des autres et exceptionnellement, femme de rugbyman est devenu Maman de rugbyman.

Si vous ne faîtes pas partie de la grande famille du rugby au Pays Basque, le nom de mon invitée, Marylène Luro, ne vous dira probablement rien… elle a la particularité d’être la maman de 3 jeunes joueurs de rugby.

Trois joueurs de rugby qui ont des prénoms de 3 lettres.

Ce n’est pas un hasard, elle m’a expliqué que lorsqu’elle avait vécu en Nouvelle Zélande, les locaux avaient beaucoup de mal à prononcer le R de Marylène, alors avec le papa des garçons qui était lui même NZ. Ils avaient décidé pour leurs futurs enfants de trouver des prénoms qui ne contiendraient pas la lettre R, qui seraient courts et faciles à prononcer en français, en anglais et en basque.

Certains d’entre vous auront peut-être deviné que Marylène est la maman de Max Spring, Sam Spring et Tom Spring.

Vous n’imaginez pas à quel point sa vie baigne dans le rugby depuis toujours, le rugby l’a emmenée jusqu’en NZ où elle a vécu pendant 3 années, tous les gens qu’elle aime sont passionnés de rugby… jusqu’à sa maison qui a été bâtie avec l’aide des amis du club.

En semaine Marylène sillonne les routes entre Saint Jean Pied de Port et Saint Etienne de Baïgorry, autrement dit entre Garazi et Baïgorry pour rendre visite à de nombreux patients. Les week ends, avec Xabi son compagnon, lui aussi très investi dans le rugby aux niveau régional et national, elle quitte régulièrement son pays basque natal pour accompagner ses garçons du regard .

Elle les observe avec bienveillance et respect et elle formule pour eux des vœux de bonheur et d’épanouissement pour les années qui viennent.

Marylène nous racontera l’enfance et l’adolescence des garçons et à quel point ils ont érigés le rugby en religion, elle nous parlera de la relation qu’elle entretient aujourd’hui avec eux, avec les adultes qu’ils sont devenus, elle expliquera également comment contrairement à d’autres mères de joueurs elle n’a pas peur pour ses enfants.

Elle livre pour nous une analyse pertinente de la vie d’un jeune joueur professionnel, des joies et des frustrations que cela occasionne parfois.

Les belles valeurs qui la caractérisent la pousse à souhaiter pour ses enfants qu’ils se souviennent toujours d’où ils viennent, qu’ils n’oublient pas les éducateurs du club formateur (s’il en est) de Nafaroa mais aussi d’autres belles personnes qui les ont accompagnés comme Pierre Perez à qui elle a souhaité rendre hommage.

Je vous laisse découvrir Marylène, la super maman de Max, Sam et Tom.

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